Lorsque le jour de déprime apparaît,
Il n’y a plus de place
Nulle part pour la frime.
Espérons que jamais ils ne fassent
Que sonnent les matines,
Triste et amère déprime,
Si fertile, débile, futile,
À un tel point que j’en ai
Plein les sourcils de tout
Ce qui s’assimile à
une ballerine pleine
De faux pantomimes.
Quand on est au très-fond de la déprime,
Où trouver une seule trace
De joie perdue par trime ?
Espérons que revienne notre place
Que notre époque a rendu vile,
Que mandoline nous chantonne ses comptines
Par jour de déprime.
Le 19-10-1983
mardi 6 janvier 2009
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