Faby, quand je t’ai vu petite fille,
Je t’ai su tendre, gentille et si pure.
Maintenant, plus que belle, brise ton mur.
Mes yeux s’ouvrent, je t’aime, c’est l’idylle.
Faby, souviens-toi quand je t’ai parlé,
J’ai été troublé de ta différence.
Par mégarde mes paroles d’enfance
Ont détruite béatement l’amitié.
Faby, tes cheveux d’aurore d’orient
Jamais ne les coupe à l’occident.
Seule tu peu me dire pourquoi toi,
Faby, aux yeux peints couleur de courroux,
Mélancoliques, les rendent jaloux
De ma vie ! Mais je rêve alors tant pis !
Le 7-10-1983
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire