mardi 6 janvier 2009

Faby

Faby, quand je t’ai vu petite fille,
Je t’ai su tendre, gentille et si pure.
Maintenant, plus que belle, brise ton mur.
Mes yeux s’ouvrent, je t’aime, c’est l’idylle.

Faby, souviens-toi quand je t’ai parlé,
J’ai été troublé de ta différence.
Par mégarde mes paroles d’enfance
Ont détruite béatement l’amitié.

Faby, tes cheveux d’aurore d’orient
Jamais ne les coupe à l’occident.
Seule tu peu me dire pourquoi toi,

Faby, aux yeux peints couleur de courroux,
Mélancoliques, les rendent jaloux
De ma vie ! Mais je rêve alors tant pis !

Le 7-10-1983

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